CSDHI – Abbas Sheikh al-Islami, le doyen de l’Université d’Azad de Mashhad a dit : « En Iran, sur 180 cas de violence contre les femmes, 128 n’aboutissent pas car les plaignantes retirent leurs plaintes.
Les femmes victimes de leurs maris ou de leurs familles, soit refusent de déposer une plainte ou la retirent au cours de la procédure pour des raisons accessoires. Les lois pénales ne résolvent pas les problèmes des femmes iraniennes ».
Source : Agence de presse officielle, IRNA