CSDHI – Les études de Téhéran sur la pollution atmosphérique montrent qu’un décès sur dix en Iran est dû à la pollution de l’air.
Sadegh Hassanvand, un membre du Comité scientifique sur la gestion de la pollution atmosphérique, a déclaré que les personnes âgées de plus de 65 ans et de moins de 5 ans sont les plus sensibles aux maladies aérogènes. Il a ajouté aussi que les personnes cardiaques, les femmes enceintes, les personnes obèses souffrent également de l’exposition plus que d’autres personnes.
« Il convient de noter que les études sur le sexe des personnes qui présentent des risques de polluants montrent que les femmes sont plus susceptibles et ont plus de chance de faire partie de celles qui décèdent ».
Source : Agence de presse gouvernementale, le 1er décembre 2017