CSDHI – Les membres de la Résistance iranienne ont condamné la visite du ministre iranien des affaires étrangères à Paris et à La Haye. Ils affirment que Mohammad Javad Zarif est un instrument du régime, qui détruit les droits humains, la démocratie et la paix dans le pays et au Moyen-Orient. Les horreurs du régime ont seulement augmenté depuis que l’accord nucléaire a été signé l’année dernière.
L’Iran continue à :
• faire des tests nucléaires en violation de la résolution 2231 du Conseil de Sécurité des Nations Unies
• opprimer les minorités ethniques et religieuses comme les sunnites, les arabes, les baloutches et les kurdes.
• soutenir le régime de Bachar al-Assad dans la guerre civile syrienne
• torturer et d’exécuter ses propres citoyens
• restreindre la liberté d’expression
Le 19 juin, le guide suprême du régime Ali Khamenei a parlé des récentes manifestations des étudiants d’université contre le régime et a proclamé que toute personne contestant le régime sera interdit dans les universités.
Il a dit : « Les universités se sont transformées en plates-formes de divergence par rapport aux significations et valeurs de la révolution … quiconque défit les institutions sous n’importe quel prétexte comme les élections est un individu incertain et n’a aucune qualification à apparaître dans les universités ».
En mai, Zarif a fait l’éloge d’un haut commandant du Hezbollah qui est mort à Damas. Il a dit que Mustafa Badreddine, un membre de l’organisation terroriste libanaise, était un « grand et infatigable homme … plein d’amour, de sentiments et héroïque en défendant les causes légitimes de l’Islam ».
Cela montre que Zarif est intrinsèquement liée aux fonctions fondamentales du régime.
Le Conseil National de la Résistance Iranienne (CNRI) a déclaré : « Zarif doit être tenu pour responsable des actions du régime dans le domaine des droits de l’homme, du terrorisme et de l’envoi de milliers de forces armées en Syrie.
Ils ont supplié les gouvernements étrangers de conditionner leurs relations avec l’Iran avec l’amélioration des droits de l’homme dans le pays.
Le CNRI a déclaré : « Investir dans les relations avec les mollahs revient à battre un cheval mort ».
Source : Stop au fondamentalisme